Qui suis-je ?
Je lève ici et maintenant le voile sur ce qui mène à vous
Je m’appelle Emilia KOLTES, je suis une femme accomplie de 35ans au moment où vous me lisez. Mais c’est dans mon enfance que je suis littéralement tombée dans la crème du massage. Toute petite, j’aimais explorer les textures qui permettent cette sensation de glisser et de profondeur sous la pression de mes mains. Je crois que mon expérience préférée, était pendant ces fameux mercredis passés à la maison, où ma mère me demandait systématiquement de beurrer le moule à gâteau. J’adorais et j’adore encore sentir le beurre fondre sous la chaleur de mes doigts !
J’avais environ 8 ou 9 ans, lorsque mes mains demandaient à palper, malaxer, envelopper ou lisser les tissus, les muscles et les douleurs.
Ma seule appétence était : détendre, relaxer, soulager, choyer toutes personnes qui passaient entre mes mains.
Du simple mal de tête à la contracture musculaire, je me délectais à relâcher les tensions décelées sous mes doigts.
De cette passion, est né un métier pour lequel je me suis formée au sein d’une école d’esthétique renommée du Grand-Est, ma région natale, où j’ai appris le corps humain tant sur un point biologique que physiologique.
Voilà…je m’appelle Emilia KOLTES, je suis une femme accomplie de 35ans au moment où vous me lisez. Mais c’est dans mon enfance que je suis littéralement tombée dans la crème du massage. Toute petite, j’aimais explorer les textures qui permettent cette sensation de glisser et de profondeur sous la pression de mes mains. Je crois que mon expérience préférée, était pendant ces fameux weekend ou mercredi passés à la maison, où ma mère me demandait systématiquement de beurrer le moule à gâteau. J’adorais et j’adore encore sentir le beurre fondre sous la chaleur de mes doigts !
J’avais environ 8 ou 9ans, lorsque mes mains demandaient à palper, malaxer, envelopper ou lisser les tissus, les muscles et les douleurs.
Ma seule appétence était : détendre, relaxer, soulager, choyer toutes personnes qui passaient entre mes mains.
Du simple mal de tête à la contracture musculaire, je me délectais à relâcher les tensions décelées sous mes doigts.
De cette passion, est né un métier pour lequel je me suis formée au sein d’une école d’esthétique renommée du Grand-Est, ma région natale, où j’ai appris le corps humain tant sur un point biologique que physiologique.
C’est aussi et surtout au près des plus grandes maisons cosmétique et Spa françaises et du monde comme CinqMondes, Phyt’s, Renata França etc…que j’ai pu élargir et affiner mon savoir faire manuel.
A mes 18ans, j’ouvrais mon premier Spa urbain ; le Sweet Spa-Institut était situé à Metz en Lorraine où j’ai exercé durant 6 années jusqu’à une blessure à l’épaule qui me contraint d’arrêter le massage et de fermer définitivement mon établissement.
Un changement de cap s’est alors imposé à moi. J’eu décidé de partir vivre en Haute-Savoie puis en Colombie à la recherche d’une nouvelle vocation en vain.
Je poursuivis mon chemin en me centrant sur moi-même, me choyant à mon tour en prenant soin de mon épaule. Au fil de ces 8 longues années où je suis restée fidèle à mon instinct et à cet amour que j’ai pour mon prochain, je constatais que je pouvais à nouveau masser. Alors…naturellement, je suis revenue à ma raison d’être qui est votre bien-être !
C’est aussi et surtout au près des plus grandes maisons cosmétique et Spa françaises et du monde comme CinqMondes, Phyt’s, Renata França etc…que j’ai pu élargir et affiner mon savoir faire manuel.
A mes 18ans, j’ouvrais mon premier Spa urbain : Le Sweet Spa-Institut était situé à Metz en Lorraine où j’ai exercé durant 6 années jusqu’à une blessure à l’épaule qui me contraint d’arrêter le massage et de fermer définitivement mon établissement.
Un changement de cap s’est alors imposé à moi. J’eu décidé de partir vivre en Haute-Savoie puis en Colombie à la recherche d’une nouvelle vocation en vain.
Je poursuivis mon chemin en me centrant sur moi-même, me choyant à mon tour en prenant soin de mon épaule. Au fil de ces 8 longues années où je suis restée fidèle à mon instinct et cet amour que j’ai pour mon prochain, je constatais que je pouvais à nouveau masser. Alors… naturellement, je suis revenue à ma raison d’être qui est votre bien-être !
